Les myrtilles sauvages

Profondément sauvages

Dans les vastes plaines de l’est du Canada les myrtilles sauvages existent depuis des milliers d’années. Sur les sols acides des glaciers du Québec, de la Nouvelle Ecosse, du Nouveau-Brunswick et de l’Ile du Prince Edward, elles trouvent les conditions idéales et poussent presque toutes seules... A la différence des myrtilles de culture, elles ne peuvent pas être plantées sur des plantations. Les petits buissons capricieux ne poussent que là où ils s’implantent eux-mêmes. Mais les agriculteurs peuvent les soutenir avec des petites aides.



Uniques et précieuses

Au cours des âges les myrtilles sauvages se sont parfaitement adaptées aux conditions difficiles de leur région avec ses hivers glacials, ses étés courts, mais intenses et des sols arides – comparées avec la myrtille de culture, les myrtilles sauvages sont bien plus petites : Elles font à peine la taille d’un petit pois. Ainsi, elles ont proportionnellement plus de peau et moins de pulpe (donc aussi moins d’eau). Et c’est dans la peau que se concentrent les arômes et les substances anti-oxydatives (phénols végétaux). Les myrtilles sauvages se caractérisent donc par des arômes complexes, typiques des fruits sauvages, qui allient des notes sucrées avec des nuances épicées.

Disponibles toute l’année

Directement après la récolte, les fruits sauvages sont surgelés baie par baie. Ce procédé de transformation préserve leur forme, leur goût et les valeurs nutritives de façon optimale. Ainsi, les myrtilles sauvages sont disponibles chez nous tout au long de l’année, que ce soit sous forme de produit surgelé ou alors en bocal. Le lavage et nettoyage devient donc inutile. On peut tout de suite passer à  la préparation.